Carte marine du SHOM indiquant la profondeur de l'eau, les récifs et autres dangers et les phares.
Carte n°7081 du SHOM (Service hydrographique et océanographique de la Marine https://www.shom.fr/fr )
Autorisation de reproduction n°448/2007.
Carte marine du SHOM indiquant la profondeur de l'eau, les récifs et autres dangers et les phares.
Le 24 juin 2022, au moins 23 migrants sont morts à la frontière entre le Maroc et l’Espagne, et il y a eu plus d’une centaine de blessés des deux côtés. L’ONU et l’Union africaine exigent une enquête indépendante. La coopération migratoire entre le Maroc et l’Espagne est de nouveau pointée du doigt. Reportage à Nador.
Note #14 - juin 2022
Mal connue du public, la soft law est une arme redoutable entre les mains des États, qui utilisent cette méthode quand ils veulent contourner les contraintes et la rigidité que leur imposeraient les lois nationales ou les textes et traités internationaux. Elle est souvent mobilisée dans le domaine du « contrôle des flux migratoires », sans qu’il soit facile de faire toujours la différence entre la stricte application du droit et ses contournements. L’externalisation des politiques d’asile et d’immigration est un exemple typique du recours à la soft law : l’Union européenne (UE) ou ses États membres trouvent avantage à négocier toute une foule d’arrangements aux noms divers, plus ou moins informels, avec leurs « partenaires » des pays tiers, fictivement présentés sur un pied d’égalité. voir migreurope