30 mars 2018


Aujourd’hui comme hier, les espoirs de nombreuses personnes exilées se fracassent sur la réalité des camps fermés des États européens qui, d’une part, érigent les droits de l’homme en étendard et, d’autre part, exigent des exilés qu’ils restent hors de l’Union européenne (UE). Au prétexte d’arrivées « massives », l’UE et ses Etats voisins n’ont cessé de renforcer leurs systèmes d’enfermement : de 2011 à 2016, la capacité totale connue des camps recensés par le réseau de migeurope est passée de 32 000 à 47 000 places.



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